La chanson de Roland
Jonin, Pierre Roland sent que ses yeux ne voient plus. Il se remet debout et
rassemble ses dernières forces. Son visage n'a plus de couleurs. Devant
lui se trouve une roche grise. Il la frappe de dix coups d'épée avec
colère, avec dépit. L'acier grince sans se briser ni s'ébrécher. Ah !
prie le comte, sainte Marie, au secours ! Ah ! Durendal, ma bonne épée,
quel malheur pour vous ! Puisque me voilà perdu, je ne suis plus
désormais responsable de vous. Grâc...